La journée avait commencé avec un
soycaf aussi mauvais qu’il peut s’en faire me faisant quasiment regretter la
nourriture que l’on me servait à l’arcology, mais bref il faut faire avec ce
que l’on a surtout lorsque personne ne sait que vous existez, mais bon je
divague. Même pas le temps de m’étouffer avec celui-ci que mon antiquité de
téléphone sonne. Je fais les quatre pas qui me sépare de celui-ci et décroche
le combiné. Misuhoro me répond avec un ton désagréable comme lui seul avait le
talent:
-Konishiwa, omae. Je ne passerais
pas par quatre chemins. J’ai un boulot pour toi.
-Cela paye combien? Lui répondit-jet
-1000 nuyens. La mission n’est
pas très compliqué. Il suffit de retrouver un type et lui reprendre ce qui
appartient à mon employeur.
- Continu tu m’intéresse.
-Le mec habite dans puyallup et
s’est amusé à jouer les apprentis hacker et a subtilisé des données que nous
aimerions bien récupéré. Un des nos deckers a réussi à le retrouver, mais le
type s’est déconnecté avant qu’il lui grille les circuits. Bref ta mission est
de trouver le gars, de lui prendre les données et de faire disparaître ce type.
Le type ne possède pas de Sin, donc ne te casse pas la tête pour faire
disparaître le corps.
-Et il habite ou exactement ton
type?
-Va voir le doorman du club
Penumbra. Il travaille pour nous de temps en temps et je lui ai dit de te
donner les coordonnées.
Sur ce Misuhoro raccroche me
laissant seul avec moi-même. Je raccroche à mon tour le combiné et le repris de
façon a pouvoir appeler un taxi. Une fois ceci fait je sorti de mon appartement
et me dirigea vers la sortie de l’Ork Underground qui mène à Puyallup. Celle-ci
étant la plus prêt de mon appartement. En sortant j’entendis mon voisin battre
sa femme comme il avait l’habitude de le faire. Les gens ici semble avoir
d’étrange manière. Tant qu’il ne me perturbe pas, ils peuvent bien faire ce
qu’ils veulent.
Bref le taxi ne tarda pas a
arriver une fois que je fut sorti de l’Underground. Je donne les indications et
voilà direction club Penumbra. Je me laisse aller à mes divagations
habituelles, regardant quelques fois les gens dans la rue ou le ciel. En
parlant de ciel…il va probablement pleuvoir d’ici quelques heures. Il va
falloir que je me dépêche si je ne veux pas être complètement mouiller. Enfin, on
arrive.
Je sort du taxi, indique au
chauffeur d’attendre cinq minutes. Je me dirige ensuite vers le doorman. Il est
10h et le bar est toujours ouvert. Seattle; la ville qui ne dort jamais.
J’entame la discussion avec le doorman lui fesant comprendre que je suis ici
pour affaire, si vous comprenez ce que je veux dire. Il me dit que le type
habite 230 Parkwood Boulevard, près du parc Wildwood. Je prends soins de tout
noter afin de ne rien oublier, puis je retourne vers le taxi qui m’attend
toujours. Celui-ci me reconduis à mon point de départ et une fois arrivé je lui
donne son dû. Il ne manque plus qu’à aller me préparer et attendre que la
pénombre arrive.
Je demande au taxi de me
débarquer à quelques rues de là de façon à pouvoir examiner les lieux avant de
passer à l’acte. Rien de vraiment intéressant excepter des vieilles maisons
délabrés qui font la caractéristique première des quartiers pauvres de Seattle.
240,238,236,234,232, 230. M’y voilà. Une vielle maison semblable à toute les
autres c’est-à-dire avec des fenêtre barricadé pour la plupart avec des
planches de bois, avec une toiture défraîchi et qui coule probablement et
finalement une porte avec une poignée manquante probablement disparu après la
dernière descend de la Lone Star dans le coin. Bref, le type de maison ou
élever ses enfants. J’entrouvre la porte de façon à faire le moins de bruit
possible. L’intérieur est dans le même état que l’extérieur. Certaines marches
de l’escalier qui mène au deuxième étage sont défoncé, on trouve un peu partout
des seringues, des coulé de je ne sais quoi sur les murs et surtout…un chien.
La bête en me voyant se met à
hurler assez fort pour réveiller la ville entière. Je donne un bon coup de pied
au cabot de façon à le faire terre, mais malheureusement le signale d’alarme
est déjà lancer. J’entends au deuxième étage une personne ramassant ses objets
en vitesse et prenant ses jambes à son coup. Je me dépêche à atteindre la
chambre ou se situe la personne, mais trop tard je la vois déjà à une centaines
de mètres sautant de toit en toit. Je décide, donc de faire de même. Commence
alors une course effréné, mais heureusement ,comme tout bon decker qui se doit,
le type n’a pas la santé et rapidement je gagne du terrain. Me voyant me
rapprocher, le type essais d’augmenter la cadence et le stress réduisant son
attention, il trébuche sur un vieux fil qui traînait par là probablement
originaire d’une vieille antenne parabolique passé. Le résultat est une chute
de deux étages. L’arrivé ne se fait aucunement en douceur et le type semble
inconscient. L’allée dans laquelle il est tombé me permet de sauter de murs en
murs pour atteindre le fond.
Je rejoins le corps inertes et essais de voir s’il est mort. Négatif, le
type respire encore. On va faire sa en vitesse, mais premièrement on va prendre
ce qui pourrait être utile. Je lui fais les poches et tombe sur une disquette
écrit : Preuve contre Yakuza. Je la mets dans mon accoutrement. Une lueur
bleue entoure ma main droit et celle-ci s’abat sur la cage thoracique. Le type
n’a plus de pouls. Je suis sur le points de m’en aller quand je vois deux
personnes caché. Mal caché est mieux comme terme. C’est un couple. Rien de très
menaçant. L’homme me fixe d’un regard dévisageant. Nos regards se croisent et
l’homme détourne le sien aussitôt comme si je pouvais d’un seul coup le
transformer en pierre. Je commence à les fouiller de façon à leur enlever tout
moyen de communiquer les forces de l’ordre. Je fouille le type :
porte-feuille, clé d’appartement, rien d’intéressant. Excepté…un cellulaire. Je
le prends aussitôt et l’écrase avec ma main. Cette simple action semble
déstabiliser les deux compagnons de vie. Je me met en fouiller la demoiselle.
Je peux sentir ses sueurs de peur et ses tremblements. Un bruit me rappelant
ceux d’un certains chien que j’ai assommé se font entendre. La fille hurle à la
lune. J’ai été gentil jusqu’ici, mais si on ce la joue ainsi. Je lui donne un
bon coup du tranchant de la main au niveau des vertèbres. Le résultat est
efficace et celle-ci s’effondre. Le type décide de s’en mêler, mais ne semble
pas savoir exactement comment faire. D’un simple mouvement de bras et de
hanche, je l’envois directement dans la poubelle la plus proche. Je m’approche
de lui pour lui donner le coup final et me rend rapidement compte que ce ne
sera pas nécessaire. Il se trémousse de tout les sens comme s’il cherchait son
air. Les témoins sont hors d’état de nuire. Je quitte l’endroit et me dirige au
point de rendez-vous pour recevoir mon argent.
P.S. 1210 mots!!!